Faisant suite à l'album "Portrait" de 2019, "Kerber" est un nouveau chapitre dans l’oeuvre de l'artiste breton, qui commence par sa production la plus ouvertement électronique à ce jour.
Fidèle à l'approche nuancée et subtile de Tiersen, il ne s'agit pas d'un album de "dance music" et d’un virage à 180 degrés, mais plutôt d'un monde électronique magnifiquement texturé, hautement immersif et soigneusement construit dans lequel on peut pénétrer.
Il s'agit à la fois d'une évolution de ce...
Faisant suite à l'album "Portrait" de 2019, "Kerber" est un nouveau chapitre dans l’oeuvre de l'artiste breton, qui commence par sa production la plus ouvertement électronique à ce jour.
Fidèle à l'approche nuancée et subtile de Tiersen, il ne s'agit pas d'un album de "dance music" et d’un virage à 180 degrés, mais plutôt d'un monde électronique magnifiquement texturé, hautement immersif et soigneusement construit dans lequel on peut pénétrer.
Il s'agit à la fois d'une évolution de ce qui a été fait auparavant et d'un nouvel espace à explorer. Dans ce nouvel album, le piano est la source, mais l'électronique est l'environnement dans lequel il existe. Tiersen explique : "Vous pouvez avoir cette pensée intuitive de 'oh c'est du piano', mais en fait ce n'est pas le cas. J'ai travaillé sur des pistes de piano au départ, mais ce n'est pas le coeur du problème, elles ne sont pas importantes. Le contexte est la chose la plus importante - le piano était un précurseur pour créer quelque chose autour duquel l'électronique pouvait travailler."
1ère partie : Quinquis
Une proposition de La SAS Concerts, en accord avec Radical Production.