Une danse de la mise en relation directe, qui propose une relation d’humanité laissant la place à la fragilité, au doute, au sens critique et à l’humour. Rendez-vous le 8 février avec la création d'Ambra Senatore.
Ils, elles, sont douze au plateau. Assez nombreux pour constituer une micro-société. Ensemble, dans une exploration de l’espace et des relations, ils se posent, en mouvement, des questions de notre temps : qu’est-ce qui fait société ? comment accueillir l’autre ? Départs, retours, suspensions, explosions...
Dans cette négociation du partage d’espace, la chorégraphie joue des tensions, des revirements et des redites. Tout l’art de la composition d’Ambra Senatore se dévoile, avec ce filtre...
Ils, elles, sont douze au plateau. Assez nombreux pour constituer une micro-société. Ensemble, dans une exploration de l’espace et des relations, ils se posent, en mouvement, des questions de notre temps : qu’est-ce qui fait société ? comment accueillir l’autre ? Départs, retours, suspensions, explosions...
Dans cette négociation du partage d’espace, la chorégraphie joue des tensions, des revirements et des redites. Tout l’art de la composition d’Ambra Senatore se dévoile, avec ce filtre subtil de l’absurdité qui recouvre sa danse, faite de ruptures rythmiques et de connexions inattendues. Un puzzle constitué de gestes du quotidien déplacés hors de leurs contextes, créant à la fois un effet de familiarité et de décalage. Jonathan Seilman taille une partition sur mesure, explorant ces musiques qui parlent de ce qui nous constitue, citant des pans de nos mémoires sonores et évoquant différentes influences culturelles. Mobile, fugace, la lumière joue elle aussi un rôle crucial, faisant le focus sur des scènes, des objets, des détails, et orientant le regard du spectateur, qui, loin d’être un simple témoin, se trouve lui aussi inclus dans ce peuple dansant.
Une danse de la mise en relation directe, qui propose une relation d’humanité laissant la place à la fragilité, au doute, au sens critique et à l’humour.
Chorégraphie : Ambra Senatore
Sur scène : Youness Aboulakoul, Pauline Bigot, Pieradolfo Ciulli, Matthieu Coulon Faudemer, Lee Davern, Olimpia Fortuni, Chandra Grangean, Romual Kabore, Alice Lada, Antoine Roux-Briffaud, Marie Rual, Ambra Senatore
Assistante : Andrea Moufounda
Musique Originale : Jonathan Seilman
Lumières : Fausto Bonvini